David Engels est historien et professeur à l’Institut Zachodni en Pologne et à l’Université libre de Bruxelles. Il est l’auteur de plusieurs livres dont Le Déclin. La crise de l’Union européenne et la chute de la République romaine (Éditions du Toucan, 2013) et Que Faire? Vivre avec le déclin de l’Europe (Blue Tiger Media, 2019).
L'Évangile est bien souvent considéré aujourd'hui comme un récit mythologique écrit dans un lointain passé et qui ne s'adresse donc plus à nos contemporains. Victime de sa longue temporalité, la Bonne Nouvelle du Christ n'est plus une nouvelle, celle-ci étant devenue aussi fuyante que l'eau dans nos mains, l'une chassant l'autre à une vitesse effrénée. Elle n'est, de même, plus prise au sérieux car appartenant au passé. Or, il n'en est rien. L'Evangile n'appartient pas au passé car il s'agit d'une parole qui nous fait penser autre chose et nous aide donc à sortir des carcans que nous nous sommes nous-mêmes forgé. La vocation même de la Bonne Nouvelle est de faire entendre au monde ce que le monde n'a pas entendu. Elle a donc, au coeur de son message, ce caractère inouï, c'est à dire "pas encore ouï". C'est ce que Dominique Collin veut nous faire prendre conscience : L'Evangile nous dit toujours du neuf. A nous de tendre l'oreille pour entendre l'in-ouï.
L'Évangile est bien souvent considéré aujourd'hui comme un récit mythologique écrit dans un lointain passé et qui ne s'adresse donc plus à nos contemporains. Victime de sa longue temporalité, la Bonne Nouvelle du Christ n'est plus une nouvelle, celle-ci étant devenue aussi fuyante que l'eau dans nos mains, l'une chassant l'autre à une vitesse effrénée. Elle n'est, de même, plus prise au sérieux car appartenant au passé. Or, il n'en est rien. L'Evangile n'appartient pas au passé car il s'agit d'une parole qui nous fait penser autre chose et nous aide donc à sortir des carcans que nous nous sommes nous-mêmes forgé. La vocation même de la Bonne Nouvelle est de faire entendre au monde ce que le monde n'a pas entendu. Elle a donc, au coeur de son message, ce caractère inouï, c'est à dire "pas encore ouï". C'est ce que Dominique Collin veut nous faire prendre conscience : L'Evangile nous dit toujours du neuf. A nous de tendre l'oreille pour entendre l'in-ouï.
L'Évangile est bien souvent considéré aujourd'hui comme un récit mythologique écrit dans un lointain passé et qui ne s'adresse donc plus à nos contemporains. Victime de sa longue temporalité, la Bonne Nouvelle du Christ n'est plus une nouvelle, celle-ci étant devenue aussi fuyante que l'eau dans nos mains, l'une chassant l'autre à une vitesse effrénée. Elle n'est, de même, plus prise au sérieux car appartenant au passé. Or, il n'en est rien. L'Evangile n'appartient pas au passé car il s'agit d'une parole qui nous fait penser autre chose et nous aide donc à sortir des carcans que nous nous sommes nous-mêmes forgé. La vocation même de la Bonne Nouvelle est de faire entendre au monde ce que le monde n'a pas entendu. Elle a donc, au coeur de son message, ce caractère inouï, c'est à dire "pas encore ouï". C'est ce que Dominique Collin veut nous faire prendre conscience : L'Evangile nous dit toujours du neuf. A nous de tendre l'oreille pour entendre l'in-ouï.
L'Évangile est bien souvent considéré aujourd'hui comme un récit mythologique écrit dans un lointain passé et qui ne s'adresse donc plus à nos contemporains. Victime de sa longue temporalité, la Bonne Nouvelle du Christ n'est plus une nouvelle, celle-ci étant devenue aussi fuyante que l'eau dans nos mains, l'une chassant l'autre à une vitesse effrénée. Elle n'est, de même, plus prise au sérieux car appartenant au passé. Or, il n'en est rien. L'Evangile n'appartient pas au passé car il s'agit d'une parole qui nous fait penser autre chose et nous aide donc à sortir des carcans que nous nous sommes nous-mêmes forgé. La vocation même de la Bonne Nouvelle est de faire entendre au monde ce que le monde n'a pas entendu. Elle a donc, au coeur de son message, ce caractère inouï, c'est à dire "pas encore ouï". C'est ce que Dominique Collin veut nous faire prendre conscience : L'Evangile nous dit toujours du neuf. A nous de tendre l'oreille pour entendre l'in-ouï.
Séquence 3/3 : Le professeur Steven Laureys est un neurologue belge mondialement connu qui mène avec son équipe depuis plus de vingt ans des recherches sur les états de conscience. Dans son dernier livre paru chez Odile Jacob, il expose ici les effets de la méditation sur notre corps et sur notre esprit. À travers ses recherches sur le cerveau de Matthieu Ricard, il nous montre comment elle stimule le foictionnement cérébral et le modifie de manière positive. Il n’est pas nécessaire d’être moine bouddhiste ou neurologue pour vivre les changements positifs de la méditation. Les bienfaits qui en résultent pour notre santé mentale – moins de stress, un meilleur sommeil, plus de concentration, moins d’anxiété, des effets antidépresseurs et antidouleur… – sont à la portée de chacun d’entre nous.
L'Évangile est bien souvent considéré aujourd'hui comme un récit mythologique écrit dans un lointain passé et qui ne s'adresse donc plus à nos contemporains. Victime de sa longue temporalité, la Bonne Nouvelle du Christ n'est plus une nouvelle, celle-ci étant devenue aussi fuyante que l'eau dans nos mains, l'une chassant l'autre à une vitesse effrénée. Elle n'est, de même, plus prise au sérieux car appartenant au passé. Or, il n'en est rien. L'Evangile n'appartient pas au passé car il s'agit d'une parole qui nous fait penser autre chose et nous aide donc à sortir des carcans que nous nous sommes nous-mêmes forgé. La vocation même de la Bonne Nouvelle est de faire entendre au monde ce que le monde n'a pas entendu. Elle a donc, au coeur de son message, ce caractère inouï, c'est à dire "pas encore ouï". C'est ce que Dominique Collin veut nous faire prendre conscience : L'Evangile nous dit toujours du neuf. A nous de tendre l'oreille pour entendre l'in-ouï.
Séquence 2/3 : Le professeur Steven Laureys est un neurologue belge mondialement connu qui mène avec son équipe depuis plus de vingt ans des recherches sur les états de conscience. Dans son dernier livre paru chez Odile Jacob, il expose ici les effets de la méditation sur notre corps et sur notre esprit. À travers ses recherches sur le cerveau de Matthieu Ricard, il nous montre comment elle stimule le foictionnement cérébral et le modifie de manière positive. Il n’est pas nécessaire d’être moine bouddhiste ou neurologue pour vivre les changements positifs de la méditation. Les bienfaits qui en résultent pour notre santé mentale – moins de stress, un meilleur sommeil, plus de concentration, moins d’anxiété, des effets antidépresseurs et antidouleur… – sont à la portée de chacun d’entre nous.
L'Évangile est bien souvent considéré aujourd'hui comme un récit mythologique écrit dans un lointain passé et qui ne s'adresse donc plus à nos contemporains. Victime de sa longue temporalité, la Bonne Nouvelle du Christ n'est plus une nouvelle, celle-ci étant devenue aussi fuyante que l'eau dans nos mains, l'une chassant l'autre à une vitesse effrénée. Elle n'est, de même, plus prise au sérieux car appartenant au passé. Or, il n'en est rien. L'Evangile n'appartient pas au passé car il s'agit d'une parole qui nous fait penser autre chose et nous aide donc à sortir des carcans que nous nous sommes nous-mêmes forgé. La vocation même de la Bonne Nouvelle est de faire entendre au monde ce que le monde n'a pas entendu. Elle a donc, au coeur de son message, ce caractère inouï, c'est à dire "pas encore ouï". C'est ce que Dominique Collin veut nous faire prendre conscience : L'Evangile nous dit toujours du neuf. A nous de tendre l'oreille pour entendre l'in-ouï.
Séquence 1/3 : Le professeur Steven Laureys est un neurologue belge mondialement connu qui mène avec son équipe depuis plus de vingt ans des recherches sur les états de conscience. Dans son dernier livre paru chez Odile Jacob, il expose ici les effets de la méditation sur notre corps et sur notre esprit. À travers ses recherches sur le cerveau de Matthieu Ricard, il nous montre comment elle stimule le foictionnement cérébral et le modifie de manière positive. Il n’est pas nécessaire d’être moine bouddhiste ou neurologue pour vivre les changements positifs de la méditation. Les bienfaits qui en résultent pour notre santé mentale – moins de stress, un meilleur sommeil, plus de concentration, moins d’anxiété, des effets antidépresseurs et antidouleur… – sont à la portée de chacun d’entre nous.
Séquence 6/6 : Un bon chrétien doit-il être fanatique ? Le foi conduit-elle au fanatisme ? Les premiers chrétiens étaient-ils fanatiques ? Le christianisme provoque-t-il l’intolérance, comme l’antisémitisme et les guerres de religion ? Dans cette dernière séquence, il nous parle de Saint Augustin et du donatisme.
Philippe Henne est dominicain du couvent de Liège. Il est né en 1954 à Ville-sur-Haine (près de Mons), après avoir étudié à Fribourg (Suisse), Louvain-la-Neuve, et travaillé à l’Ecole biblique de Jérusalem. Il est professeur de patrologie à la faculté de théologie de Lille depuis 1992. Il est rédacteur en chef de la revue Mélanges de science religieuse de l’université catholique de Lille.
Séquence 5/6 : Un bon chrétien doit-il être fanatique ? Le foi conduit-elle au fanatisme ? Les premiers chrétiens étaient-ils fanatiques ? Le christianisme provoque-t-il l’intolérance, comme l’antisémitisme et les guerres de religion ? Si le moyen âge a rugi des clameurs dues aux croisades, les premiers siècles furent davantage remplis des cris poussés par les martyrs. Mais ne serait-il pas le signe d’un certain mépris pour la vie humaine et pour l’amour conjugal ? A nous de le découvrir.
Philippe Henne est dominicain du couvent de Liège. Il est né en 1954 à Ville-sur-Haine (près de Mons), après avoir étudié à Fribourg (Suisse), Louvain-la-Neuve, et travaillé à l’Ecole biblique de Jérusalem. Il est professeur de patrologie à la faculté de théologie de Lille depuis 1992. Il est rédacteur en chef de la revue Mélanges de science religieuse de l’université catholique de Lille.
Séquence 4/6 : Un bon chrétien doit-il être fanatique ? Le foi conduit-elle au fanatisme ? Les premiers chrétiens étaient-ils fanatiques ? Le christianisme provoque-t-il l’intolérance, comme l’antisémitisme et les guerres de religion ? Si le moyen âge a rugi des clameurs dues aux croisades, les premiers siècles furent davantage remplis des cris poussés par les martyrs. Mais ne serait-il pas le signe d’un certain mépris pour la vie humaine et pour l’amour conjugal ? A nous de le découvrir.
Philippe Henne est dominicain du couvent de Liège. Il est né en 1954 à Ville-sur-Haine (près de Mons), après avoir étudié à Fribourg (Suisse), Louvain-la-Neuve, et travaillé à l’Ecole biblique de Jérusalem. Il est professeur de patrologie à la faculté de théologie de Lille depuis 1992. Il est rédacteur en chef de la revue Mélanges de science religieuse de l’université catholique de Lille.
Séquence 3/6 : Un bon chrétien doit-il être fanatique ? Le foi conduit-elle au fanatisme ? Les premiers chrétiens étaient-ils fanatiques ? Le christianisme provoque-t-il l’intolérance, comme l’antisémitisme et les guerres de religion ? Si le moyen âge a rugi des clameurs dues aux croisades, les premiers siècles furent davantage remplis des cris poussés par les martyrs. Mais ne serait-il pas le signe d’un certain mépris pour la vie humaine et pour l’amour conjugal ? A nous de le découvrir.
Philippe Henne est dominicain du couvent de Liège. Il est né en 1954 à Ville-sur-Haine (près de Mons), après avoir étudié à Fribourg (Suisse), Louvain-la-Neuve, et travaillé à l’Ecole biblique de Jérusalem. Il est professeur de patrologie à la faculté de théologie de Lille depuis 1992. Il est rédacteur en chef de la revue Mélanges de science religieuse de l’université catholique de Lille.